Le premier été







(Re)découvrez la superbe écriture de Marguerite Yourcenar dans ce court roman tragique et magnifique.
Il est des samedis magiques… Un éditeur italien (basé à Naples) nous a rendu visite samedi dernier pour nous faire découvrir ses superbes livres-objets poétiques : Ilfilodipartenope.
La collection de sable (qui fait référence à Calvino) propose des livres de poésie dont la couverture est réalisée avec des incrustations de sable de la ville évoquée (ici, la ville de Fès dont l’ouvrage est en bilingue italien-arabe).
Vous retrouverez aussi les poèmes de Katherine Mansfield (bilingue italien-anglais), d’Adonis (bilingue italien-arabe) et un récit de voyage de Cecilia Meireles. Ces ouvrages sont faits à la main, comportent des eaux fortes ou lithographies originales et se referment avec un onglet métallique.
Avis aux amateurs de littérature italienne en langue originale et aux amateurs de beaux livres…



Ah, Laurent gaudé est énervant…
Pas un de ses romans qui ne soit magnifiquement écrit, qui ne traduise les pensées les plus intimes des personnages… Non, vraiment je pense à certains autres auteurs contemporains dont les livres nous tombent des mains (je ne donnerai pas de nom…) et je comprends leur jugement agacé.
Mais en attendant, le libraire et le lecteur sourient d’aise une fois la dernière page dégustée. Ainsi va la vie…

Les libraires ont leurs chouchous : De Luca en fait partie. Un nouveau roman encore plus dépouillé et fort que les précédents. Un face à face entre l’animal et l’homme qui n’est pas sans rappeler « Le vieux qui lisait des romans d’amour » de Luis Sépulveda. Attention : pépite.