Rencontre le mardi 5 novembre à 18h30 autour du « Manuel indocile de sciences sociales »

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Le mardi 5 novembre à 18h30 rencontre avec:
– Willy Pelletier coordonnateur de l’ouvrage et sociologue à l’université de Picardie à Amiens.
Il est responsable de la Fondation Copernic qui se donne pour objectif « de remettre à l’endroit ce que le libéralisme met à l’envers ».
– et Jérémy Sinigaglia, sociologue à l’université de Strasbourg, et contributeur de l’ouvrage.

Pour le « Manuel indocile de sciences sociales » paru aux éditions de La Découverte.

Ce livre alimente en indocilités, ravitaille en savoirs résistants. Sans jargon, ni dogme, ni abstraction, il fournit mille arguments contre les fausses évidences, partout répétées, qui célèbrent le marché libéré et la mondialisation telle qu’elle est.
Ce livre lève les silences ou les censures sur les mécanismes qui produisent, reproduisent les discriminations, les pollutions, l’exploitation débridée.
Ce manuel indocile à partir d’exemples issus des sciences sociales – l’histoire, l’économie, l’ethnologie, la sociologie, les sciences politiques- montre comment l’ordre du monde que l’histoire a produit, peut être inversé. Plus de 100 contributeurs : des sociologues, des économistes, des politistes, des historiens, des professeurs de lycée, des acteurs du mouvement social. Et plus de 100 sujets abordés, qui questionnent des « vérités » toutes faites, en montrant qui les produit, comment et pourquoi.

Jeudi 10 octobre: Rencontre avec Emmanuelle Favier

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SOIRÉE VIRGINIA WOOLF

Rencontre avec Emmanuelle Favier
Le jeudi 10 octobre à 18h30
Pour son roman Virginia
Paru aux éditions Albin Michel

Dans le lourd manoir aux sombres boiseries, Miss Jan s’apprête à devenir Virginia. Mais naître fille, à l’époque victorienne, c’est n’avoir pour horizon que le mariage. Virginia Woolf dérogera à toutes les règles. Elle fera œuvre de ses élans brisés et de son âpre mélancolie. La prose formidablement évocatrice d’Emmanuelle Favier, l’autrice du « Courage qu’il faut aux rivières », fait de cette biographie subjective un récit vibrant, fiévreux, hypnotique.

Emmanuelle Favier, est une romancière et poétesse française.
Son premier roman, Le Courage qu’il faut aux rivières, a été très remarqué et a reçu de nombreux prix (prix Révélation de la SGDL, prix de la Fondation Prince Pierre de Monaco…)

Mercredi 2 octobre: rencontre avec Claudie Hunzinger

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Rencontre avec Claudie Hunzinger
Le mercredi 2 octobre à 18h30
Pour Les grands cerfs
Paru aux éditions Grasset

Pamina, habite en montagne avec son compagnon Nils. Elle se sait entourée par un clan de cerfs qui lui sont restés invisibles et mystérieux jusqu’à ce que Léo, un photographe animalier, construise dans les parages une cabane d’affût et qu’il lui propose de guetter avec lui. Tandis qu’elle observe et s’initie à la vie du clan, affrontant la neige, le givre, la grêle, avec pour équipement un filet de camouflage, une paire de jumelles et des carnets, elle raconte sa peur de la nuit, les futaies sous la lune, la magie de l’inconnu, le plaisirinfini à guetter, incognito, l’apparition des cerfs, à les observer, à les distinguer et à les nommer : Apollon, Géronimo, Merlin… Mais au cours de ces séances de guet, elle va découvrir un monde plus cruel que celui du règne animal, celui des hommes, car un massacre se fomente… Un roman qui se lit comme un thriller, plein de poésie, de chagrin et de colère, sur la disparition de la beauté dans la nature et les ravages que l’homme y opère.

Ecrivain et plasticienne, Claudie Hunzinger est l’auteure de Elles vivaient d’espoir (2010),  La Survivance (2012),  La langue des oiseaux (2014) et L’incandescente (2016).

Vendredi 27 septembre: Rencontre avec Isabelle Flaten

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Rencontre avec Isabelle Flaten
Vendredi 27 septembre à 18h30
Pour son roman Adelphe
Paru aux éditions Le Nouvel Attila

À la sortie de la guerre, les hommes sont rares, ou en mauvais état… C’est le temps des révolutions, de l’Europe, mais aussi des femmes… des femmes conscientes de leur pouvoir, qui s’émancipent de leurs foyers, tirent les ficelles, et se réapproprient leur destin.
Le jour où Gabrielle Thomas, dans sa paisible bourgade, tend à Adelphe le pasteur un exemplaire de Nêne, prix Goncourt de l’année, que chacun lit et annote à son tour, la vie des personnages bascule, les lois divines et terrestres sont menacées. Gabrielle d’abord, la trop honnête paroissienne ;
Blanche, la bonne qui mène son maître par le bout du nez ; puis Adelphe, pasteur débonnaire que ce tourbillon de femmes revendicatrices empêche de dormir : puis ses femmes, puis son fils, puis….
Chacun fait revivre à sa manière la partition du livre, en tentant d’en changer la fin.

Isabelle Flaten a publié plusieurs romans aux éditions La Dernière goutte et au Réalgar. Son œuvre minutieuse s’intéresse aux relations avec l’autre et remet l’altérité sans cesse en question.

 

Rentrée littéraire: la soirée!

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Vendredi 20 septembre à 18h30
Nous serons heureux de vous retrouver pour vous présenter notre sélection pour cette rentrée littéraire.
 
Avec la participation de toute l’équipe de la librairie ainsi que de Pierre Théobald auteur de « Boys » aux éditions JC Lattès. Il a dévoré pour vous tout l’été les premiers romans de cette rentrée et vous présentera ses choix.

Passerelles d’Europe: Rencontre avec Antoine Wauters à Thionville

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Mardi 17 septembre à 18h30
PÉNICHE AMARRÉE A THIONVILLE QUAI PIERRE MARCHAL, HALTE FLUVIALE

 

Rencontre et lecture avec l’écrivain belge Antoine Wauters, auteur de « Nos mères », « Pense aux pierres sous tes pas », et « Moi, Marthe et les autres », ponctuée de lectures publiques par la comédienne Julie Pilod.

Cette rencontre se tiendra dans le cadre des 40 ans des éditions Verdier.
En partenariat avec l’association Caranusca « La pierre et l’eau » organise une navigation littéraire sur les fleuves, canaux et rivières d’Europe avec un équipage composé d’invités français, belges et allemands.

Rencontre avec Audur Ava Olafsdottir

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Rencontre avec Audur Ava Olafsdottir
le lundi 16 septembre à 18h30
Pour son nouveau roman Miss Islande
Paru aux éditions Zulma

Islande, 1963 – cent quatre-vingt mille habitants à peine, un prix Nobel de littérature, une base américaine, deux avions transatlantiques, voilà pour le décor. Hekla, vingt et un ans, emballe quelques affaires, sa machine à écrire, laisse derrière elle la ferme de ses parents et prend le car pour Reykjavík avec quatre manuscrits au fond de sa valise. Il est temps pour elle d’accomplir son destin : elle sera écrivain.
Avec son prénom de volcan, Hekla bouillonne d’énergie créatrice, entraînant avec elle Ísey, l’amie d’enfance qui s’évade par les mots – ceux qu’on dit et ceux qu’on ne dit pas –, et son cher Jón John, qui rêve de stylisme entre deux campagnes de pêche…

Explorant avec grâce les troublantes drôleries de l’inconstance humaine, Auður Ava Ólafsdóttir poursuit, depuis « Rosa candida », une œuvre d’une grande finesse, qui lui a valu tout récemment le Nordic Council Literature Prize, la plus haute distinction décernée à un écrivain des cinq pays nordiques. Elle est également l’auteur de Ör, Le rouge vif de la rhubarbe, l’Exception et L’Embellie.

Vernissage de l’exposition d’André Faber « Louise nue »

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Jeudi 4 juillet à 18h
Vernissage de « LOUISE NUE »
Exposition d’André Faber sur les murs de la libraire
du 1er juillet au 31 août

« Comme d’autres, je voyage sur la toile, regarde les femmes nues. Voilà que je tombe sur ces toiles d’Ingres, ou Rubens, sur ce que l’on nomme des odalisques. J’ai tenté de redessiner ces femmes superbes. J’ai viré coussins et tentures pour isoler les corps, aller à l’essentiel, faire le plus avec le moins de traits.
Un temps, dans mes esquisses, les visages mêmes avaient disparu. C’était dommage. Louise Brooks est venue à mon secours. La plus belle femme du monde après ma mère.
Par le jeu du dessin, son visage emblématique s’est imposé. En ces temps scabreux, voilà mon hommage à la femme qu’on cherche toujours et qu’on ne trouve jamais.
Évidemment nue, évidemment triomphante, Louise Brooks est revenue »

Mercredi 3 juillet: On fête l’été en poésie avec la « Revu »!

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Mercredi 3 juillet à 19h on fêtera l’été en poésie.
Soirée avec toute l’équipe de la « Revu »
LA revue de poésie snob et élitiste

La ligne éditoriale de REVU, repose sur l’idée de trouver une congruence et des articulations entre :
L’ACTION afin de rendre vivante la poésie et contribuer à lutter pour sa diffusion dans tous les lieux possibles et auprès de tout public intéressé.
LA PENSÉE pour inviter à la réflexion sur les courants poétiques contemporains, mettre en perspective les savoirs et mettre en lumière la diversité des projets artistiques : écrit, image, son, performance, travailler sur l’essai pour croiser les regards, entre poésie et actualité et enfin placer l’humour et l’engagement au centre de la revue, comme deux pôles toujours en tension.

L’association Revu, est le fruit d’un travail en équipe ponctué de longues discussions, choix éditoriaux et esthétiques. Nous tenons également à faire entendre la poésie partout en organisant des ateliers d’écriture, des rencontres, des festivals et des spectacles.

Soirée philo avec Jacob Rogozinski

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Rencontre avec Jacob Rogozinski

Mardi 11 juin à 18h
Pour « Djihadisme: Le retour du sacrifice »

Paru aux éditions Desclée de Brouwer

Directeur de programme au Collège international de philosophie entre les années 80 et 90, puis enseignant au Département de philosophie de l’Université Paris 8, Jacob Rogozinski est actuellement Professeur à la Faculté de philosophie de l’Université de Strasbourg.

Il écrivait écrivait à la fin de son précédent ouvrage « Ils m’ont haï sans raison: de la chasse aux sorcières à la Terreur » : « Ce qui mobilise ces dispositifs n’est jamais une théorie ou un discours. Ce sont les schèmes et les affects qu’ils parviennent à capter en leur donnant une cible. » En filigrane on pouvait y lire l’illégitimité de l’accusation qui faisait du Coran le responsable du terrorisme islamique, puisque ce qui donne naissance au dispositif de persécution dépend peu des idées et des concepts contenus dans un texte, mais beaucoup des schèmes extra-intellectuels qui les prennent comme prétextes à la haine ou à la vengeance.

Avec « Djihadisme : le retour du sacrifice », Jacob Rogozinski prend en charge cette question. L’objectif du livre est de savoir quel nom donner à ce qui génère la violence terroriste qui se revendique de l’islam qui « nous » atteint, « nous » les sociétés occidentales.